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8 mai 2017

Blacklight, de Denis Albot

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             TITRE : BLACKLIGHT

         AUTEUR : DENIS ALBOT

        ÉDITEUR : ÉDITIONS RAVET-ANCEAU

          SORTIE : 28 FÉVRIER 2017

               PRIX : 13€    

 

 

 

 

 

        [ RÉSUMÉ ]

À l'approche de la quarantaine, Stéphane décide de sauter le pas : il se fait tatouer une immense fresque dans le dos, des dessins en noir et blanc évoquant son métier de flic au SRPJ de Lille mais aussi son enfance, éprouvante. Il confie son corps à Eric, un artiste lensois. Au rythme des aiguilles, les langues se délient. Le tatoueur évoque les décès suspects de trois de ses confrères sur les deux dernières années. Intrigué, Stéphane se rend au commissariat de Lens où le brigadier-chef Alicia Millot l accueille. Sa plastique avantageuse laisse le policier rêveur. Pourtant, quelque chose semble miner la jeune femme. Alors qu'elle lui conte son histoire, Stéphane choisit de la prendre sous son aile. Ensemble, ils découvrent les coulisses du tatouage. Et percent le mystère des dermographes.

 

 

 

 

       [ AVIS ]

Une lecture passionnante.

 

Stéphane travaille au SRPJ de Lille.

Alors qu'il est en train de se faire tatouer, il apprend de la bouche de son tatoueur,Éric,

que plusieurs des meilleurs tatoueurs des environs ont connus des morts suspectes

ces derniers mois.

Stéphane décide alors de mener l'enquête avec son équipe ,

il va alors découvrir un univers assez mystérieux.

 

Ce livre ne pouvait que me plaire c'est indéniable .

Tout d'abord grâce à son mystérieux héros qui a trois gros atouts pour me séduire .

C'est un motard, amateur de tatouages et qui en plus aime les Red Hot Chili Peppers,

on était fait pour s'entendre tous les deux !

 

Stéphane est un personnage comme je les aime, direct et qui ne se laisse pas démonter.

Il est assez mystérieux ( il y a d'ailleurs un flou autour de sa vraie identité)

mais il se dévoile petit à petit à travers des flashs backs qui nous aide à le comprendre

et à mieux cerner les raisons qui l'ont poussé dans cette voie.

 

 

On ne peut pas dire qu'il ai eu une vie facile, le destin semble aimer le mettre à l'épreuve.

Mais il en faut plus pour l'abattre et l'empêcher de mener à bien sa mission.

Mission qui ici se révèle plutôt périlleuse.

 

Le monde du tatouage est un monde que j'apprécie beaucoup.

J'ai toujours été fascinée par les tatouages et surtout par ce qu'ils révèlent de nous

et de notre façon d'être.

C'est une part de notre intimité que l'on affiche, une part de nous qui se reflète sur notre peau.

 

Ici les tatouages jouent un rôle important, ils sont vecteurs d'émotions mais aussi de secrets .

Grâce à l'enquête l'on découvre un monde qui peut parfois paraître assez secret.

J'en ai d'ailleurs pas mal appris sur ces fameux "Blacklights" qui donnent le titre à ce roman .

Stéphane peut d'ailleurs compter sur l'aide de certains tatoueurs pour l'aiguiller

dans son investigation.

 

Stéphane fait aussi une rencontre déterminante, celle d'Alicia,

une jeune gendarme qui va se montrer d'une aide précieuse.

Rencontre qui une nouvelle fois nous prouve qu'il faut profiter à fond de l'instant présent.

 

Cette enquête est menée tambour battant, pas de temps mort ni de pause.

Le roman est assez court, 140 pages , mais il est très dense et prenant.

L'auteur , Denis Albot, avec son style alerte et percutant nous entraîne avec lui

et c'est d'une seule traite que ce roman se lit.

 

Ce roman est addictif et donne sacrément envie d'une suite.

 

Je remercie les Éditions Ravet-Anceau pour ce service presse.

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Commentaires
T
140 pages ? La bonne taille pour un bon polar, un pied de nez aux romans-tonne à l'américaine, 600, 800, 1000 pages longues lentes et ennuyantes, écrites en atelier sous la férule d'un chef de projet. Bravo à Ravet-Anceau pour son courage !
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